Ne pas tout couper !

Il est inutile, et écologiquement non pertinent, de tondre systématiquement toutes les surfaces enherbées. Cela conduit à n’obtenir qu’un même milieu (pelouse rase) très appauvri en biodiversité, ne développant que peu de services écologiques.

Sur certains espaces moins fréquentés, aux sols plus fragiles, ou écologiquement précieux, la gestion différenciée permettra de laisser certaines zones une grande partie de l’année évoluer par elles-mêmes.


Moins de produits phytosanitaires

Cette logique s’accompagne souvent d’une suppression de l’utilisation des pesticides et de désherbants qui affectent la biodiversité mais également la santé humaine. Cette démarche permettra le retour d’espèces végétales et animales parfois oubliées et à l’intérêt notoire sur le territoire local.

Cette dynamique est tout à fait transposable et imitable au sein même de jardins particuliers comme le démontre la suite du sentier.